Choisir, c'est renoncer?
Voilà, j'écris les premières lignes sur ce petit blog.
Je n'ai pas la prétention de déjà me donner le nom de "blogueuse" (bien qu'à l'avenir, je le souhaite!), je désire juste faire ce que j'aime le plus, c'est-à-dire : écrire.
Tout simplement, pour partager mes conseils, mes expériences, mes avis en tous genres qui pourraient plaire/aider certain(e)s d'entre vous mais également, pour échanger, débattre, discuter.
J'écris aussi pour me sentir un peu plus vivante dans ce monde aux allures parfois bien trop superficielles.
Cette idée, je la traîne depuis des années mais je ne l'ai jamais mise en oeuvre car je me comparais bien trop aux autres : "vais-je réussir? A quoi ça sert vu toutes les blogueuses déjà présentes? Qui va me lire?"
Depuis l'année passée, j'ai eu cette envie d'envoyer sur les roses tous les avis, toutes les comparaisons stériles et de faire les choses qui me plaisent, sans tenir compte des autres. Vous appelez ça de l'égoïsme ? Moi j'appelle ça l'amour-de-soi. Comme l'a également précisé Lise Bourbeau dans son livre "La puissance de l'acceptation", l'amour de soi c'est être à l'écoute de ses propres besoins.
C'est plus difficile à dire qu'à faire, mais désormais j'écoute et interprète mes émotions afin d'être sur le chemin qui me convient le mieux.
En parlant de chemin.... C'est bien la rentrée n'est-ce pas?
Beaucoup d'entre vous sont diplômés (comme moi) , savent quel métier faire ou quelles autres études entreprendre (et je suis heureuse pour vous!) mais d'autres se sentent parfois lassés, perdus, ensevelis par cette marée de choix qui se dressent face à soi. Je fais partie de ce genre de personnes. Dès notre plus tendre enfance, on nous demande de se projeter "Que veux-tu faire plus tard?", alors on répond naïvement "Princesse, astronaute, chevalier..." puis à l'adolescence cela se précise "Médecin, journaliste, vétérinaire..." mais que se passe-t-il quand on en a aucune idée?
Bien que j'ai toujours eu en tête le métier de journaliste ou d'écrivain, je me suis rendue compte d'années en années que j'étais passionnée par un tas de métier, d'activités. On m'a souvent dit que cela était bien d'être curieuse et d'être ouverte à tout... Oui c'est bien dans une certaine limite. Lorsque je décide de faire quelque chose, j'ai tendance à vite me lasser, à avoir vite fait le tour (sans prétention) ce qui à tendance à m'impliquer dans une recherche perpétuelle de nouveaux objectifs, d'un nouveau souffle. Sauf qu'au bout d'un moment, les choix s’essoufflent eux aussi et on se retrouve en un tour de baguette magique à la question de départ : "Que veux-tu faire plus tard?"
Telle est la situation dans laquelle je me trouve aujourd'hui et je n'ai aucune honte à en faire part. Je suis consciente que pas mal de gens sont dans le même cas et je ne fais pas de mon problème une affaire d'Etat. Mais je pense que mettre des mots là dessus cela peut aider. Pour ma part, cela m'affecte beaucoup, j'ai l'impression d'être Mr Nobody (pour ceux qui ne connaissent pas, c'est ici)et d'avoir une multitude de possibilité devant moi sauf que je suis incapable de choisir et donc, de renoncer à autre chose. Histoire de l'art? Littérature? Formations? Travailler?
Je n'avance pas le fait qu'il ne faut pas bouger et que cela nous tombera dessus... Non. Il faut se donner les moyens de réussir mais aussi le droit à l'échec. Se lever, essayer, continuer ou renoncer, changer.
Je pense, comme en amour, que l'on est fait pour un bon nombre de choses car nous avons tous une panoplie de capacités que nous connaissons déjà ou que nous pouvons développer. Pas vrai ?
N'hésitez pas à réagir, à parler de vous aussi...
Je ne manquerai pas de vous communiquer la suite des événements... ✊
Je n'ai pas la prétention de déjà me donner le nom de "blogueuse" (bien qu'à l'avenir, je le souhaite!), je désire juste faire ce que j'aime le plus, c'est-à-dire : écrire.
"Ecrire, oui c'est bien joli, mais pourquoi ?"
Tout simplement, pour partager mes conseils, mes expériences, mes avis en tous genres qui pourraient plaire/aider certain(e)s d'entre vous mais également, pour échanger, débattre, discuter.
J'écris aussi pour me sentir un peu plus vivante dans ce monde aux allures parfois bien trop superficielles.
Cette idée, je la traîne depuis des années mais je ne l'ai jamais mise en oeuvre car je me comparais bien trop aux autres : "vais-je réussir? A quoi ça sert vu toutes les blogueuses déjà présentes? Qui va me lire?"
Depuis l'année passée, j'ai eu cette envie d'envoyer sur les roses tous les avis, toutes les comparaisons stériles et de faire les choses qui me plaisent, sans tenir compte des autres. Vous appelez ça de l'égoïsme ? Moi j'appelle ça l'amour-de-soi. Comme l'a également précisé Lise Bourbeau dans son livre "La puissance de l'acceptation", l'amour de soi c'est être à l'écoute de ses propres besoins.
C'est plus difficile à dire qu'à faire, mais désormais j'écoute et interprète mes émotions afin d'être sur le chemin qui me convient le mieux.
En parlant de chemin.... C'est bien la rentrée n'est-ce pas?
Beaucoup d'entre vous sont diplômés (comme moi) , savent quel métier faire ou quelles autres études entreprendre (et je suis heureuse pour vous!) mais d'autres se sentent parfois lassés, perdus, ensevelis par cette marée de choix qui se dressent face à soi. Je fais partie de ce genre de personnes. Dès notre plus tendre enfance, on nous demande de se projeter "Que veux-tu faire plus tard?", alors on répond naïvement "Princesse, astronaute, chevalier..." puis à l'adolescence cela se précise "Médecin, journaliste, vétérinaire..." mais que se passe-t-il quand on en a aucune idée?
Bien que j'ai toujours eu en tête le métier de journaliste ou d'écrivain, je me suis rendue compte d'années en années que j'étais passionnée par un tas de métier, d'activités. On m'a souvent dit que cela était bien d'être curieuse et d'être ouverte à tout... Oui c'est bien dans une certaine limite. Lorsque je décide de faire quelque chose, j'ai tendance à vite me lasser, à avoir vite fait le tour (sans prétention) ce qui à tendance à m'impliquer dans une recherche perpétuelle de nouveaux objectifs, d'un nouveau souffle. Sauf qu'au bout d'un moment, les choix s’essoufflent eux aussi et on se retrouve en un tour de baguette magique à la question de départ : "Que veux-tu faire plus tard?"
Telle est la situation dans laquelle je me trouve aujourd'hui et je n'ai aucune honte à en faire part. Je suis consciente que pas mal de gens sont dans le même cas et je ne fais pas de mon problème une affaire d'Etat. Mais je pense que mettre des mots là dessus cela peut aider. Pour ma part, cela m'affecte beaucoup, j'ai l'impression d'être Mr Nobody (pour ceux qui ne connaissent pas, c'est ici)et d'avoir une multitude de possibilité devant moi sauf que je suis incapable de choisir et donc, de renoncer à autre chose. Histoire de l'art? Littérature? Formations? Travailler?
(modification) Tout le monde peut ressentir cette sensation de flottement au cour de sa vie. Pour ma part, j'ai compris peu à peu que cela est lié à ma personnalité, à mon hypersensibilité (article plus tard) et que cela pouvait être qualifier de personnalité multipotentialiste. En aucun cas, je ne me mets en position supérieure, c'est juste propre à ma personnalité et sûrement à un bon nombre d'autres personnes. Pour mieux comprendre ce qu'est ce genre de personnalité, je vous invite à regarder cette vidéo (peut-être que vous vous reconnaîtrez 👀) :
Je n'avance pas le fait qu'il ne faut pas bouger et que cela nous tombera dessus... Non. Il faut se donner les moyens de réussir mais aussi le droit à l'échec. Se lever, essayer, continuer ou renoncer, changer.
Je pense, comme en amour, que l'on est fait pour un bon nombre de choses car nous avons tous une panoplie de capacités que nous connaissons déjà ou que nous pouvons développer. Pas vrai ?
N'hésitez pas à réagir, à parler de vous aussi...
Je ne manquerai pas de vous communiquer la suite des événements... ✊
Coucou :-))
RépondreSupprimerJe retiens qu il est important de suivre ce que l on est, sa personnalité et que ce que l on apprend même si l on change par la suite n est pas perdu.. Que du contraire peut même nous être très utile à l avenir.. :)) C'est bien ton blog Jeanne::))
Totalement d'accord ! Du moins, j'essaie de mettre ça en pratique dans la vie de tous les jours.
RépondreSupprimerMerci beaucoup :-)